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Associations actifs acide azélaïque.

Acide azélaïque : avec quels autres actifs le combiner ?

Bien connu pour ses propriétés anti-inflammatoires, antibactériennes et matifiantes, l’acide azélaïque est souvent utilisé pour prendre soin des peaux grasses, sujettes aux imperfections ou aux rougeurs. Son efficacité pourrait-elle être optimisée en le combinant avec d'autres actifs ? Quelles associations sont souvent retrouvées en cosmétique ? Découvrez les réponses à ces questions dans cet article.

Publié le 5 novembre 2021, mis à jour le 5 novembre 2025, par Maylis, Ingénieure chimiste — 22 min de lecture

Association n°1 : Acide azélaïque et niacinamide.

Le niacinamide est réputé pour renforcer la barrière cutanée en stimulant la synthèse de céramides et limiter ainsi la perte en eau. Elle réduit également les rougeurs, atténue l'hyperpigmentation post-inflammatoire et pourrait moduler la production de sébum. Bien tolérée, elle est particulièrement adaptée aux peaux sensibles ou sujettes aux inflammations chroniques. L'association de le niacinamide avec de l'acide azélaïque semble donc pertinente pour les peaux réactives ou souffrant de couperose.

Tandis que l'acide azélaïque inhibe la fonction métabolique des neutrophiles, limitant ainsi la libération d'espèces réactives de l'oxygène pro-inflammatoires, le niacinamide renforce la tolérance cutanée et apaise la peau. Cette combinaison pourrait également améliorer l'uniformité du teint en ciblant à la fois l'hyperpigmentation post-inflammatoire et les rougeurs diffuses, des effets qu'il serait intéressant de confirmer par des études cliniques.

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Association n°2 : Acide azélaïque et vitamine C.

La vitamine C est reconnue pour ses propriétés antioxydantes, son rôle dans la synthèse du collagène et son effet unifiant sur le teint. Elle neutralise les radicaux libres induits par les UV ou la pollution et inhibe l'activité de la tyrosinase, une enzyme impliquée dans la synthèse de la mélanine. Son association avec l'acide azélaïque pourrait être particulièrement intéressante pour les peaux sujettes aux taches pigmentaires et aux rougeurs résiduelles post-inflammatoires.

Une étude menée auprès de 20 volontaires a évalué l'effet de huit séances hebdomadaires combinant un soin à 20% d'acide azélaïque et 30% d'acide phytique sur l'ensemble du visage, avec l'ajout de 40% d'acide L-ascorbique sur le côté gauche uniquement. Après deux mois, les résultats ont montré une amélioration significative de l'érythème et de l'hyperpigmentation, particulièrement marquée avec l'association des trois actifs.

Une augmentation de l'hydratation cutanée a également été observée, et les participants ont rapporté une amélioration de la fermeté, de l'élasticité, de l'homogénéité du teint, ainsi qu'une réduction des rougeurs et des rides. Cette association semble ainsi efficace pour améliorer l'apparence globale de la peau.

Association n°3 : Acide azélaïque et rétinoïdes.

Les rétinoïdes constituent une classe d'actifs de référence en dermatologie pour la prise en charge de l'acné et du vieillissement cutané. Leur mécanisme d'action repose sur la régulation du renouvellement cellulaire, l'augmentation de la synthèse de collagène, la diminution de l'inflammation et, pour les formes orales, la réduction de l'activité des glandes sébacées. Leur association avec l'acide azélaïque pourrait optimiser la prise en charge des peaux à tendance acnéique et inflammatoire.

Cette combinaison nécessite toutefois des précautions pour les peaux sensibles. Les rétinoïdes, notamment le rétinol et la trétinoïne, peuvent provoquer irritations, sécheresse et desquamations. Leur superposition avec l'acide azélaïque, aux propriétés matifiantes, pourrait fragiliser davantage la barrière cutanée. Il est donc recommandé d'introduire ces deux actifs progressivement dans sa routine de soin.

En cas de traitement par isotrétinoïne orale, l'ajout d'acide azélaïque topique est généralement déconseillé, la peau étant déjà très sensibilisée par voie systémique.

Association n°4 : Acide azélaïque et acide salicylique (BHA).

L'acide salicylique est un acide bêta-hydroxylé (BHA) lipophile capable de pénétrer profondément dans les pores encombrés de sébum et de cellules mortes pour les désincruster. Ses propriétés antimicrobiennes et anti-inflammatoires pourraient compléter celles de l'acide azélaïque pour cibler les imperfections.

Un essai mené sur 34 patients présentant une acné légère à modérée a évalué l'effet de quatre séances de peeling à deux semaines d'intervalle. Une solution combinée d'acide salicylique à 20% (AS) et d'acide azélaïque à 20% (AA) a été appliquée sur une moitié du visage, tandis que l'autre recevait un peeling à 25% d'acide trichloracétique (TCA).

Les résultats ont montré une amélioration plus rapide des lésions inflammatoires avec l'association AS/AA, et des lésions non-inflammatoires avec le TCA. À l'issue des quatre séances, les deux traitements ont permis une amélioration significative comparable, bien que les participants aient exprimé une préférence pour le côté traité par AS/AA, jugé plus confortable.

Efficacité de l'association acide azélaïque et acide salicylique sur des lésions acnéiques inflammatoires ou non, comparée à l'acide trichloroacétique.

Efficacité de l'association acide azélaïque et acide salicylique sur des lésions acnéiques inflammatoires ou non, comparée à l'acide trichloroacétique.

Source : HAY R. A. & al. Clinical and dermoscopic evaluation of combined (salicylic acid 20% and azelaic acid 20%) versus trichloroacetic acid 25% chemical peel in acne: An RCT. Journal of Dermatological Treatment (2019).

Association n°5 : Acide azélaïque et peroxyde de benzoyle.

Bien connu des peaux sujettes à l'acné, le peroxyde de benzoyle possède des propriétés kératolytiques et antibactériennes qui préviennent l'obstruction des pores par l'accumulation de cellules mortes et éliminent Cutibacterium acnes, la bactérie impliquée dans l'inflammation des lésions acnéiques. Son association avec l'acide azélaïque repose sur la complémentarité de leurs actions : tandis que le peroxyde de benzoyle cible rapidement la prolifération bactérienne, l'acide azélaïque agit plus en douceur en limitant l'inflammation et en atténuant les rougeurs associées.

Il serait intéressant que des études cliniques se penchent sur cette combinaison afin d'évaluer son efficacité et sa tolérance.

Association n°6 : Acide azélaïque et acide hyaluronique.

L'acide hyaluronique est un glycosaminoglycane naturellement présent dans la matrice extracellulaire de la peau, reconnu pour sa capacité à retenir l'eau. Selon son poids moléculaire, il hydrate les couches superficielles de l'épiderme ou pénètre plus profondément pour soutenir la cohésion cellulaire et la fonction barrière cutanée.

Son association avec l'acide azélaïque est pertinente pour réduire les imperfections et les rougeurs, tout en préservant l'hydratation cutanée. En effet, l'acide azélaïque peut parfois assécher légèrement la peau, notamment à des concentrations élevées (15 à 20%). L'acide hyaluronique, en apportant une hydratation immédiate, compense cet effet et améliore la tolérance sur le long terme.

Malgré certaines idées reçues, l’acide hyaluronique ne suffit pas à lui seul pour hydrater durablement la peau. Sans apport de corps gras, de type crème ou baume, l’eau qu’il attire risque de s’évaporer de la peau.

Association n°7 : Acide azélaïque et acide arbutine.

L’acide arbutine est un dérivé de l’hydroquinone naturellement présent dans certaines plantes comme la busserole. En cosmétique, il est reconnu pour son action dépigmentante, principalement via l’inhibition de la tyrosinase. L'alpha-arbutine est particulièrement indiqué pour atténuer les taches brunes et est bien toléré par la plupart des typologies de peau. Associer l'acide azélaïque à l'acide arbutine pourrait renforcer ses effets dépigmentants. Il s'agit néanmoins d'une hypothèse car, à ce jour, aucune étude ne s'est penchée sur l'éventuelle synergie existant entre ces actifs.

Association n°8 : Acide azélaïque et acide kojique.

Certains individus se questionnent aussi sur la pertinence d'associer l'acide azélaïque à l'acide kojique pour réduire leurs taches brunes. Toutefois, si l'acide kojique est autorisé en cosmétique, il est suspecté de traverser la barrière cutanée et d'être cancérigène, mutagène et perturbateur endocrinien. C'est pourquoi nous vous déconseillons d'utiliser de l'acide kojique, avec ou sans acide azélaïque. Si vous présentez de l'hyperpigmentation, il existe d'autres actifs dont la sûreté est mieux documentée.

Association n°9 : Acide azélaïque et hydroquinone.

Pour les mêmes raisons, certaines personnes s'interrogent quant à l'association entre l'acide azélaïque et l'hydroquinone. Pour rappel, l'hydroquinone est un actif dépigmentant très efficace mais controversé : il est suspecté d'être cancérigène, allergisant et reprotoxique. En Europe, seul son usage professionnel est autorisé. Chez Typology, nous ne recommandons pas d'utiliser l'hydroquinone, seule ou en association avec l'acide azélaïque, par principe de précaution.

Association n°10 : Acide azélaïque et acide tranéxamique.

L'acide azélaïque peut également être associé à l'acide tranéxamique, un actif reconnu pour ses propriétés dépigmentantes. Une étude menée auprès de 33 femmes présentant une hyperpigmentation modérée à sévère a évalué l'application quotidienne d'une crème combinant ces deux actifs (concentrations non-précisées) pendant six semaines. L'analyse par photographies, évaluation dermatologique et logiciel informatique a révélé une amélioration de la pigmentation cutanée à l'issue de l'étude.

Efficacité de l'association acide azélaïque et acide tranéxamique sur l'hyperpigmentation.

Efficacité de l'association acide azélaïque et acide tranéxamique sur l'hyperpigmentation.

Source : CHABERT L. & al. In vitro and in vivo assessment of an innovative peeling system with azelaic and tranexamic acids for targeted hyperpigmentation reduction. Dermatology and Therapy (2025).

Association n°11 : Acide azélaïque avec d'autres AHA.

Les acides alpha-hydroxylés (AHA), tels que l’acide glycolique et l’acide mandélique, exercent une action kératolytique qui favorise le renouvellement cellulaire et améliore la texture et l’uniformité du teint. L’association de l’acide azélaïque à ces acides de fruits peut renforcer la prise en charge des peaux sujettes aux imperfections et aux taches pigmentaires.

Une étude de 24 semaines menée auprès de 60 patients atteints de mélasma a montré qu’un peeling à 30% d’acide glycolique associé à une crème à 20% d’acide azélaïque permettait une réduction plus marquée du score MASI qu’un traitement à l’acide azélaïque seul. En revanche, pour les peaux sensibles, il est préférable d’éviter leur application simultanée afin de limiter les risques d’irritation.

Évolution du score MASI suite à l'utilisation de l'acide azélaïque, couplé ou non à l'acide glycolique.

Évolution du score MASI suite à l'utilisation de l'acide azélaïque, couplé ou non à l'acide glycolique.

Source : DUA R. & al. Combination of glycolic acid peel and topical 20% azelaic acid cream in melasma patients: Efficacy and improvement in quality of life. Journal of Cosmetic Dermatology (2016).

Concernant l’acide mandélique, plus doux et mieux toléré que l’acide glycolique, aucune étude n’a encore confirmé l’intérêt de son association avec l’acide azélaïque, bien que la combinaison puisse théoriquement offrir une synergie intéressante.

Association n°12 : Acide azélaïque et soufre.

Le soufre est un actif ancien mais toujours utilisé en cosmétique, principalement pour ses propriétés matifiantes, anti-inflammatoires, kératolytiques et antimicrobiennes, proches de celles de l'acide azélaïque. Son principal inconvénient est son odeur, pouvant repousser certaines personnes. L’association entre l'acide azélaïque et le soufre présente une logique intéressante. Tous deux exerçant des actions sensiblement identiques, leur combinaison pourrait cibler plusieurs facteurs de développement des imperfections, comme l'excès de sébum, l'hyperkératinisation, la prolifération bactérienne et l'inflammation.

La synergie entre l'acide azélaïque et le soufre reste aujourd’hui hypothétique, faute d’études cliniques. Par ailleurs, le soufre, tout comme l’acide azélaïque, peut avoir un effet légèrement asséchant sur la peau. Leur association, bien que potentiellement complémentaire, pourrait donc s’avérer trop irritante.

Association n°13 : Acide azélaïque et bakuchiol.

Le bakuchiol est un composé d’origine végétale extrait des graines de Psoralea corylifolia, souvent présenté comme une alternative douce au rétinol. Il est reconnu pour ses effets antioxydants et anti-inflammatoires, et sa capacité à atténuer les taches brunes et les signes de l'âge, sans entraîner de sensibilisation de la peau. Le bakuchiol et l'acide azélaïque pourraient présenter une approche synergique pour cibler à la fois les imperfections, l'excès de sébum, les rougeurs et le photovieillissement.

L'acide azélaïque et le bakuchiol pourraient être une option intéressante pour les personnes en quête d'une routine active mais douce, notamment en cas de rosacée légère ou d'imperfections fréquentes. Il serait bon que des recherches soient menées sur cette potentielle synergie dans le futur.

Association n°14 : Acide azélaïque et zinc.

Le zinc, souvent retrouvé sous forme de gluconate de zinc, de zinc PCA ou d'oxyde de zinc, est reconnu pour ses propriétés séborégulatrices, photoprotectrices, antibactériennes et anti-inflammatoires. Son association avec l'acide azélaïque pourrait être pertinente pour diminuer l'hyperséborrhée et réduire la brillance des peaux grasses ou à tendance acnéique, bien que cette synergie n'ait pas encore été testée cliniquement dans ce contexte.

En revanche, des travaux ont évalué l'efficacité d'un soin combinant 0,075% de tazarotène, 20% d'acide azélaïque, 0,1% de tacrolimus et 10% d'oxyde de zinc sur le mélasma. 16 patients présentant une hyperpigmentation ont appliqué quotidiennement cette formulation pendant 20 semaines. Les résultats ont montré une amélioration significative du score MASI (Melasma Area and Severity Index), passant de 18,9 à 13,3 en moyenne, avec un quart des participants atteignant un score inférieur à 8. Les effets indésirables rapportés étaient majoritairement légers et transitoires.

Il reste toutefois difficile d'isoler le rôle spécifique de l'association acide azélaïque-oxyde de zinc, les actifs étant combinés à d'autres composants.

Avant/après traitement d'une personne avec de l'hyperpigmentation sur les joues.

Avant/après traitement d'une personne avec de l'hyperpigmentation sur les joues.

Source : SLUZEVICH J. & al. Evaluating the efficacy, safety, and tolerability of the combination of tazarotene, azelaic acid, tacrolimus, and zinc oxide for the treatment of melasma: A pilot study. The Journal of Clinical and Aesthetic Dermatology (2019).

Association n°15 : Acide azélaïque et gluconolactone (PHA).

La gluconolactone est un acide poly-hydroxylé (PHA) qui se distingue des autres exfoliants par sa grande tolérance cutanée. Grâce à sa structure moléculaire plus volumineuse, elle pénètre lentement dans la peau, ce qui limite considérablement les risques d’irritation. La gluconolactone est ainsi un exfoliant de choix pour les peaux sensibles. Son association avec l’acide azélaïque pourrait convenir aux peaux fragilisées présentant des imperfections, une sensibilité vasculaire ou encore des poussées de rosacée.

Aucune étude clinique n’a encore validé cette combinaison. Néanmoins, leurs mécanismes d’action complémentaires suggèrent que l'association entre l'acide azélaïque et la gluconolactone pourrait être bénéfique aux peaux sensibles, mixtes à tendance acnéique ou sujette aux rougeurs.

Association n°16 : Acide azélaïque et vitamine E.

La vitamine E (tocophérol) est un antioxydant liposoluble naturellement présent dans le sébum, où elle protège les membranes cellulaires du stress oxydatif en neutralisant les radicaux libres issus des UV, de la pollution ou de l’inflammation. En limitant l’oxydation des lipides cutanés comme le squalène, elle contribue à prévenir certaines problématiques, notamment l’acné. En formulation, elle protège aussi les actifs sensibles à l’oxydation. Ainsi, bien que l’acide azélaïque soit stable, son association à la vitamine E peut être bénéfique dans des formules contenant d’autres composés oxydables.

Association n°17 : Acide azélaïque et huile essentielle d'arbre à thé.

L’huile essentielle d’arbre à thé est bien connue pour ses propriétés antibactériennes, antifongiques et anti-inflammatoires. Diluée dans une huile végétale, elle est fréquemment utilisée comme soin local pour atténuer les imperfections. Il est possible que l'associer à l'acide azélaïque puisse renforcer son action antibactérienne et apaisante et contribuer à prévenir les poussées d'acné. Cependant, nous vous conseillons de rester prudents avant de combiner l'acide azélaïque à l'huile essentielle d'arbre à thé, cette combinaison pouvant être irritante pour les peaux sensibles ou à forte concentration.

Par ailleurs, aucun essai clinique ne valide à ce jour l’efficacité et la tolérance de l'association entre l'acide azélaïque et l'huile essentielle d'arbre à thé.

Association n°18 : Acide azélaïque et urée.

L’urée est un actif à la fois hydratant et exfoliant. À faible concentration (2 – 10%), elle agit comme humectant en renforçant la fonction barrière cutanée, tandis qu’à plus haute concentration (>10%), elle exerce une action kératolytique qui adoucit et lisse la peau. Son association avec l’acide azélaïque permettrait d’amplifier l’exfoliation tout en bénéficiant des propriétés anti-inflammatoires de ce dernier, une combinaison particulièrement intéressante pour les peaux sujettes au psoriasis, une dermatose inflammatoire qui se manifeste par un épaississement de la peau.

À nouveau, aucune étude ne s'est à ce jour penchée sur la combinaison entre l'acide azélaïque et l'urée, ce qui incite à la prudence.

Association n°19 : Acide azélaïque et huile végétale de rose musquée.

Riche en acides gras essentiels (acide linoléique et acide alpha-linolénique), l’huile de rose musquée favorise la régénération cutanée, atténue les cicatrices, les taches pigmentaires et les ridules, tout en améliorant l’élasticité de la peau. Son association avec l’acide azélaïque pourrait donc cibler à la fois imperfections, rougeurs et marques post-inflammatoires.

Cependant, cette huile est connue pour être légèrement comédogène, et son application pure est déconseillée aux peaux grasses ou acnéiques, bien qu’elle soit généralement bien tolérée par les peaux normales à sèches. Toutefois, son potentiel comédogène dépend de la formulation et de sa concentration. À ce jour, aucune étude ne démontre de bénéfice spécifique à l’associer à l’acide azélaïque.

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