Originaire des régions semi-désertiques, le jojoba est un arbuste au feuillage coriace. Très prisée en cosmétique, l'huile qui en est extraite est notamment utilisée pour ses vertus sur l'excès de sébum et les imperfections.

Originaire des régions semi-désertiques, le jojoba est un arbuste au feuillage coriace. Très prisée en cosmétique, l'huile qui en est extraite est notamment utilisée pour ses vertus sur l'excès de sébum et les imperfections.
La culture du jojoba s'est implantée principalement dans le sud des États-Unis (Californie et Arizona) et dans le nord du Mexique. Quelques années plus tard, elle s'est étendue à d'autres pays comme l'Australie, l'Argentine, l'Egypte, le Pérou et Israël. L'huile de jojoba, comme la plupart des huiles végétales, est obtenue par pression à froid, en concassant ses graines. Le liquide huileux qui en résulte est de couleur jaune, riche en esters cireux, ce qui la place en position d'unique "cire" végétale. Très pure, elle a l'avantage de ne pas rancir, en raison d'une structure moléculaire riche en esters et en acides gras monoinsaturés. Le jojoba contient également une substance appelée simmondsine, dont on reconnaît notamment les vertus antioxydantes.
La cire grasse liquide contenue dans les graines de jojoba est proche du sébum humain. Nourrissante, elle favorise la pénétration des soins sans laisser de film gras en surface. Tous les types de peaux peuvent donc prétendre à l'utilisation de l'huile de jojoba, qu'elle soit sèche, déshydratée ou grasse.
Les propriétés des cérides contenues dans le jojoba sont très exploitées dans les produits capillaires. Pour les cheveux gras, cette huile contribue à la régulation excessive de sébum. A raison d'une application hebdomadaire, le cuir chevelu est assaini et nourri, et le cheveu visiblement plus brillant, dans la mesure où ses vertus nourrissantes agissent sur les pointes sèches, limitant la casse et les fourches.
Les pellicules constituent une affection du cuir chevelu courante et persistante, touchant près de la moitié de la population mondiale. La présence de squames blanches ou jaunâtres, souvent accompagnée de démangeaisons et d’irritations, peut être à la fois gênante et inconfortable. Récemment, l’acide glycolique, bien connu pour son utilisation dans les soins cutanés, a suscité un intérêt croissant pour son rôle potentiel dans la prise en charge des pellicules. Cet acide alpha-hydroxylé (AHA) polyvalent pourrait-il contribuer à atténuer les symptômes du cuir chevelu pelliculaire? Explorons ses bienfaits potentiels et les éclairages scientifiques qui soutiennent cette hypothèse.
Les cernes sous les yeux constituent une préoccupation esthétique fréquente. Les facteurs favorisant leur apparition incluent la génétique, le mode de vie, l’amincissement de la peau et l’hyperpigmentation, qui peuvent altérer l’apparence de la zone périoculaire. Divers soins sont disponibles pour y remédier, allant d’agents topiques à des procédures dermatologiques, l’acide glycolique s’imposant comme un peeling chimique couramment utilisé. Mais l’acide glycolique peut-il réellement réduire les cernes ? Cet article explore les données scientifiques disponibles sur son utilisation dans cette zone délicate et ses bénéfices potentiels.